386) Campagne litchi 2010.

Dans ma série : j’ai rencontré, l’année dernière, j’ai rencontré monsieur El Gringo.
Il m’explique les raisons du cours du litchi.
Le jeu angoissant, avec les grandes surfaces européennes.

Cette année le litchi est en retard.
Selon ses explications, c’est bon pour les exportateurs.
Cependant, l’année dernière, sur les étales des grandes surfaces, le litchi d’Afrique du sud, a fait une percée remarquée.
Le litchi, c’est la région de Tamatave, la ville d’Emilienne.
Le litchi, c'est très important pour eux.
Le litchi, c’est ambiance vendange, pour ceux qui connaissent.
Pendant la campagne litchi, Emilienne, confectionne des sandwichs à la viande.
Elle les vend aux chauffeurs des véhicules qui attendent, pour décharger la précieuse cargaison.
En fin de campagne, elle coiffe à tour de bras, pour la grande fête, en l’honneur de ce fruit.
Le litchi c’est 15 jours.
15 jours à ne pas manquer pour un Toamasinien… A vérifier le terme Toamasinien.
15 jours à ne pas manquer pour un touriste.
Vous cherchez l’ambiance, vous êtes gourmand, Tamatave en période litchis.

Contrôler l'envoi des litchis est un jeu astucieux.
Envoyer en retard le litchi, car la saison tarde ? 
C'est ennuyeux pour le commerce car non contrôlable.
D'autant que maintenant d'autres pays, se positionnent sur ce fruit.

Comments

[Pierre]

On est dans le même courrant facile


mais est ce le vazahisme Tamatave


ou le malgachisme Toamasina


Dans tous les cas, c'est le mora mora de mes traductrices.


Je vais faire une reprise en main de tout mon harem

[Jean-Louis Siboulet]

J'aurais dit : "Tamatavien" ???